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Review in French at the end !! Review en français à la fin !

Eighty Six.

86 is in a rare category of anime, which I have named anime created with "a vision".

The staff at A-1 Pictures wanted to go further, rather than just adapting the lines of text to the screen, nah, they wanted to bring this history, this military drama to life.

Have they succeeded? Yes.

... Despite these 11 episodes, 86 is dense in detail and plot, but above all continually tries to make its starting subject more complex.

Indeed, 86 speaks of war, racism, violence, and discrimination, but speaks above all of utopia, which is the fact of wanting an absolutely perfect society, without any overflow, without problem, without violence.

A utopia, where war, the ultimate symbol of violence, will take place without any victim to be deplored.

And this is for me, the only real fault of 86; we have the impression (at the beginning), that this complexity does not exist, that we are going to have the right to the usual clichés, whereas it is present from the beginning, but in a more subtle way, which implies that the viewer must be focused, and looking for something other than simple entertainment (not that 86 is not entertaining, far from it)

When he begins to talk about his problems, to show the ambivalence of characters who we thought were led by a single conviction, this is where Eighty Six excels!

At the end of each episode, I spent hours discussing the plot and the endless possibilities of the anime, it's a pleasure you can't find everywhere!

Some come and go immediately, 86

The characters are the perfect reflection of what I want to tell you about;

Vladilena is the very archetype of privilege; daughter of high-ranking army officers, beautiful, rich, and intelligent, she has a mapped out life that awaits her. However, it is she who will want to come to the aid of the Eighty-Six, this group of people persecuted by the Republic, her own country!

On the other side we have the Spearhead Squadron, led by Shinei Nouzen, the emblematic leader, who suddenly sees Lena arrive, how will they react?

Afterwards, while they risk their lives, she is warm and safe behind! What is the proof that his desire to help is really sincere?


These are as many questions as there are possible answers, but for me, the most important question remains this:

Will there be a happy ending for the Eighty Six and for Lena?


Could the second part come faster? Please ?


Eighty Six.

86 fait partie d'une catégorie rare d'animes, que j'ai nommé les animes crées avec "une vision".

Le staff a A-1 Pictures avait l'envie d'aller plus loin, plutôt que de simplement adapté les lignes de textes à l'écran, nan, ils voulaient donné vie à cette historie, à ce drame militaire.

Ont-ils réussi ? Oui.

Malgré ces 11 épisodes, 86 est dense en détails et en intrigue, mais surtout tente continuellement de complexifié son sujet de départ.

En effet, 86 parle de guerre, de racisme, de violence, et de discrimination, mais parle surtout de l'utopie, qu'est le fait de vouloir une société absolument parfaite, sans aucun débordement, sans problème, sans violence.

Une utopie, où la guerre, le symbole ultime de la violence, se déroulerai sans qu'aucune victime ne soit a déplorer.

Et c'est là pour moi, le seul vrai défaut de 86 ; on a l'impression (au début), que cette complexité n'existe pas, que l'on va avoir droit aux clichés habituelles, alors qu'elle est présente dès le début, mais de manière plus subtil, ce qui implique que le viewer se doit être concentré, et à la recherche d'autre chose que le simple divertissement (pas que 86 ne soit pas divertissant, loin de là)

Quand il se met à parler de ses problématiques, à montrer l'ambivalence de personnages que l'on croyait mené par une seule conviction, c'est là où Eighty Six excelle !

À la fin de chaque épisode, j'ai passé des heures à discuter de l'intrigue et des possibilités infinis de l'anime, c'est un plaisir que l'on ne trouve pas partout !

Certains viennent et disparaissent aussitôt, ce n'est pas le cas d'86

Les personnages sont le reflet parfait de ce dont je veux vous parler ;

Vladiléna est l'archétype même du privilège ; fille de grands gradés de l'armée, belle, riche, et intelligente, elle a une vie toute tracée qui l'attends. Pourtant, c'est elle qui va vouloir venir en aide au Eighty-Six, ce groupe de personnes persécutés par la République, son propre pays !

De l'autre côté nous avons les Spearhead Squadron, mené par Shinei Nouzen, le leader emblématique, qui voit d'un coup arriver Lena, comment vont-ils réagir ?

Après, pendant que eux risquent leurs vies, elle est au chaud et bien à l'abri derrière ! Qu'est ce qui prouve que son envie d'aider est bien sincère ?

C'est autant de questions qu'il y'a de réponses possibles, mais pour moi, la plus importante des questions reste celle-là :

Y'aura t-il une fin heureuse pour les Eighty Six et pour Lena ?


La deuxième partie pourrait-elle arrivé plus vite ? S'il vous plait ?

Dynazenon.

After the quality that Gridman gave us, I didn't think it was possible for Trigger to repeat the feat.

Indeed, Gridman was an anomaly in this cursed industry known as Japanese animation: no production problem, very high quality, and all without any drop in the middle of the season.

Realize, the anime was over before it started airing!

Despite all that, Gridman could have looked like a miracle, and well no.

... Amemiya, the director of the 2 shows, had a vision, and accompanied by his staff, who gained experience, they did it again, but better.

At the character level, Dynazenon is the opposite of Gridman.

While the former focused on Akane Shinjo, the antagonist and protagonist of the series, he left most of his characters by the wayside.

The most obvious failure? Yuuta Hibiki, the so-called owner of the series who is reduced to being nothing. A pile of clichés, a piece of shit that pollutes something pure.

While Dynazenon is what we call "a whole cast"; we are focused on a group of characters going through hardships, and who find themselves bound by the power of Dynazenon & amp; the personality of Gauma (a kind of Kamina, who pushes the group with his determination).

And I can tell you one thing, their arcs are handled perfectly.

One of the themes that bring them all together are regrets about the past, actions we did (or not) that led us to make mistakes. Our inability to see the suffering of the people around us, only to be filled with guilt when the worst happens.

I wouldn't go further, but know that in addition to being really well produced, Dynazenon learned from Gridman, to go higher, combine their forces and why not pierce the heavens, in search of the truth.


Dynazenon.

Après la qualité que nous avez offert Gridman, je ne pensais pas qu'il était possible pour Trigger de réitérer l'exploit.

En effet, Gridman était une anomalie dans cette industrie maudite que l'on appelle l'animation japonaise : pas de problème de production, une qualité de très haute facture, et le tout sans aucune baisse de régime au milieu de la saison.

Rendez vous compte, l'anime était terminé avant que sa diffusion ne commence !

Malgré tous ça, Gridman aurait pu s'apparenter à un miracle, et ben non.

Amemiya, le directeur des 2 shows, avait une vision, et accompagné de son staff, qui a gagné en expérience, ils l'ont refait cet exploit, mais en mieux.

Au niveau des personnages, Dynazenon est à l'opposé de Gridman.

Tandis que le premier se focalisé sur Akane Shinjo, l'antagoniste et le protagoniste de la série, il laissait sur le bord de la route, la plupart de ses personnages.

L'échec le plus évident ? Yuuta Hibiki, le soi disant titulaire de la série qui est réduit à n'être rien. Un amas de clichés, une merde qui pollue quelque chose de pure.

Tandis que Dynazenon est ce qu'on appelle "un ensemble cast" ; nous sommes focalisé sur un groupe de personnages traversant les épreuves, et qui se retrouve lié par le pouvoir de Dynazenon & la personnalité de Gauma (une sorte de Kamina, qui pousse le groupe par sa détermination).

Et je peux vous dire une chose, leurs arcs sont gérés à la perfection.

Un des thèmes qui les rapprochent tous sont les regrets du passé, les actions que l'on a faits (ou pas) qui nous ont menés à faire des erreurs. Notre incapacité à voir la souffrance des gens qui nous entourent, pour ensuite être remplis de culpabilité quand le pire arrive..

Je n'irais pas plus loin, mais sachez qu' en plus d'être vraiment bien produit, Dynazenon à appris de Gridman, pour aller plus haut, combinez leurs forces et pourquoi pas percez les cieux, à la recherche de la vérité.

C'est ma première review, et, étant français, j'ai voulu l'a faire dans ma langue natale, donc, au vue du peu de review française sur ce site, si mon commentaire vous a plu, alors n'hésitez pas à liker !